On l’appelait solitaire
C'était un homme aux yeux de nuit,Au cœur perdu par trop d'indifférenceQui entre lui et ses amisAvait construit un rempart de silence
Le solitaire portait bien son nomToutes ses rues menaient à des prisonsIl habitait seul avec ses secretsL'impasse des regretsIl était jusqu'au bord de la folieLe compagnon de la mélancolieParmi les vents qui font tourner la terre,Il restait solitaire
C'était un homme de nulle partDont la mémoire n'avait pas d'horizon
Le solitaire portait bien son nomToutes ses rues menaient à des prisonsIl habitait seul avec ses secretsL'impasse des regretsIl était jusqu'au bord de la folieLe compagnon de la mélancolieParmi les vents qui font tourner la terre,Il restait solitaireIl restait solitaire