La maison des doutes
Avec mes doutesJ'ai su faire tellement de choseJ'ai souffert tellement de foisAvec mes doutesQue je porte sur mes épaulesQue j'apprivoise parfoisTu vois mes doutes sont les perles d'un collierQui m'étrangle à tout jamaisJamais en soute, ils me retiennent en otageJe les emmène en voyage
Vers des villes trop lointainesOù plus rien n'a de raisonIls m'attrapent, me retiennentEt je deviens leur maisonLeur maison
Avec mes doutesMoi j'envoie des messagesDes bouteilles à la merEt je redoute de tomber sur une pageUne page blanche qui me serreFort comme mes doutesLe lierre a su s'enlacerIls sont là à tout jamaisJamais en soute, ils me retiennent en otageJe les emmène en voyage
Vers des villes trop lointaines, où plus rien n'a de raisonIls m'attrapent, me retiennent et je deviens leur maisonLeur maison
Vers des villes trop lointaines, où plus rien n'a de raisonIls m'attrapent, me retiennent et je deviens leur maisonLeur maison
Vers des villes trop lointaines, où plus rien n'a de raisonIls m'attrapent, me retiennent et je deviens leur maisonLeur maison