Allan
Pauvres poupéesQui vont qui viennent (Allan Allan)Pauvre fantômeÉtrange et blême (Allan Allan)J’entends ton chant monotoneLa nuit frissonne (Allan Allan)J’entends ton cœur fatiguéD’avoir aimé (Allan Allan)
D’étranges rêveries comptent mes nuitsD’un long voyage où rien ne vitD’étranges visions couvrent mon frontTout semble revêtu d’une ombreL’étrange goût de mortS’offre mon corpsSaoûle mon âme jusqu’à l’auroreL’étrange Ligeia renaît en moiDe tout mon être je viens vers toi !
Masque blâfardTu meurs ce soir (Allan Allan)Masque empourpréDe sang séché (Allan Allan)D’où vient ta peur du néantTes pleurs d’enfant (Allan Allan)Qui sont les larmesDe tes tourments ? (Allan Allan)