Ce matin-là
Ce matin-là, il pleuvait sur la villeEt je marchais, je marchais sans joieCe matin-là, il pleuvait sur ma vieEt mon chemin se faisait sans moi
Mais toi, avec tes yeux de cielTes yeux qui portaient le soleilMais toi, la vie t'appartenaitEt tout ruisselant, tu riais, tu riaisTu riais...
Ce matin-là, je n'avais que des larmesEt les passants s'écartaient de moiMais toi, tu m'as tendu la mainTon bras s'est glissé sous le mien
Mais toi, toi qui me devinaitPour me consoler, tu chantais,Tu chantais, tu chantais...
Alors l'amour a pendu sur la villeAlors mon coeur s'est ouvert à la joieDe ce matin-là...