Ava
Oh, Ava, je sais, tu sors encore ce soirSes bras t’attendront dans le noir, plus fortsQu’hier au bar
Oh, Ava, tu crées l’envie sur ton passageTu hurles sous tes airs de Paname, MadameTu aimes sans âme
Mais moi je te sensTrembler lorsqu’il prend sans gêne son tempsPour dire ce qu’il aimeChez les autres qui paradent sur ta peine
Oh, l’aime si tu veux, mais son rire laisse une traceEt, des blessures, tu peux renaître si tu t’arrachesDe ses mots, de promesses, de mensonges qui blessentMais ne sors pas si tu souffres, mon Ava
Oh, Ava, tu relis ces mots sans relâcheDe lettres de trois phrases qui t’arrachent ton âgeTu sais qu’il est lâche
Mais Ava, il ne te prend que pour une naïveQuand il t’embrasse, tu reprends vieMais lui il loue son lit
Mais moi je te sensTrembler lorsqu’il prend sans gêne son tempsPour dire ce qu’il aimeChez les autres qui paradent sur ta peine
Oh, l’aime si tu veux, mais son rire laisse une traceEt, des blessures, tu peux renaître si tu t’arrachesDe ses mots, de promesses, de mensonges qui blessentMais ne sors pas si tu souffres, mon Ava