Il était une femme
Elle le porte comme un roiÀ bout de cœurElle le berce de chaleurQuand il fait froidAussi simplement qu'elle respire,Elle le comprend et c'est comme çaC'est dans le lit de ses bras qu'il dit tout bas
Parfois sans voixElle dessine des illusionsQuand la joie s'en vaAvec patience et passionParfois sans toiJ'me sens triste comme une main de pianisteQui aurait paumé son envie de jouerFaut croire que sans toi j'suis pas doué
Il était une femmeIl était une femme
Elle a toujours un sourireEt quelques rêvesPour que dans les moments les piresIl se relèveQuand le jour décline, elle dépose sur sa joueSa magie, ses mots douxL'amour qui le fera tenir parmi les fous
Parmi les loupsTu me guides comme un bergerNoyé de toutMais tu m'apprends à nagerSans toi, j'avoueJ'me sens triste comme l'œil sans l'irisJ'ai peur de passer à côtéDe la vie et de ses beautés
Il était une femmeIl était une femme