Rien ne se perd, rien ne se crée
Par le bout de mes doigtsJ’essaie de reveillerUn cafard endormiJuste au pied de mon litJ’ai beau pincé très fortMais il ne se relève plusJe crois que c’est finiPour mon nouvel amiSerait-il mort làOù son cœur aurait vouluMa reine me dit tout basNe t’en fais pas
Rien ne se perdRien ne se créeDans notre universTout est calculéRien ne se perdRien ne se crée
À mon royaume de mouchesJe ne fais plus grimaceJe sais que tôt ou tardQuelqu’un prendra ma placeJe tente désormaisD’en profiterPardonnant à tous ceuxQui essaientDe m’avalerMe dévorer
Rien ne se perdRien ne se créeDans notre universTout est calculéRien ne se perdRien ne se crée
Nous irons làOù il le faudraC’est parfait comme çaOui nous irons làOù il le faudraC’est parfait pour moi