Jean Ferrat "La Commune" paroles

Traduction vers:en

La Commune

Il y a cent ans commun communeComme un espoir mis en chantierIls se levaient pour la CommuneEn écoutant chanter PottierIl y a cent ans commun communeComme une étoile au firmamentIls faisaient vivre la CommuneEn écoutant chanter Clément

C'étaient des ferronniersAux enseignes fragilesC'étaient des menuisiersAux cent coups de rabotsPour défendre ParisIls se firent mobilesC'étaient des forgeronsDevenus des moblots

Il y a cent ans commun communeComme artisans et ouvriersIls se battaient pour la CommuneEn écoutant chanter PottierIl y a cent ans commun communeComme ouvriers et artisansIls se battaient pour la CommuneEn écoutant chanter Clément

Devenus des soldatsAux consciences civilesC'étaient des fédérésQui plantaient un drapeauDisputant l'avenirAux pavés de la villeC'étaient des forgeronsDevenus des héros

Il y a cent ans commun communeComme un espoir mis au charnierIls voyaient mourir la CommuneAh ! Laissez-moi chanter PottierIl y a cent ans commun communeComme une étoile au firmamentIls s'éteignaient pour la CommuneEcoute bien chanter Clément

Ici on peut trouver les paroles de la chanson La Commune de Jean Ferrat. Ou les paroles du poème La Commune. Jean Ferrat La Commune texte.