À nos enfants
Lalalala…
Si tu crois que ton or fera grandir ton âmeSi tu crois avoir tout c’est que tu n’as rienCette petite main qui sert fort la mienneVaut tous les trésors auxquels on s’enchaine
Nous n’avons pas grand chose finalementOn oublie l’essentiel souventTant que je peux marcher, respirer ou aimerTant qu’il n’arrive rien à nos enfants
Lalalala…
Si tu crois qu’on t’entend parce que tu parles fortQuand ils auront vingt ans ce sera trop tardLe regard d’un enfant fait grandir un hommeOn emporte que ça le jour ou l’on part
Nous n’avons pas grand chose finalementOn oublie l’essentiel souventTant que je peux marcher, respirer ou aimerTant qu’il n’arrive rien à nos enfants
On court après des chosesC’est du ventEnlever le gris du roseC’est du temps
Les maux s’effacent à l’eauOh rien n’a d’importanceTant qu’il n’arrive rien à nos enfants
Lalalala…
Si tu crois que ton or fera grandir ton âmeSi tu crois avoir tout c’est que tu n’as rienCette petite main qui sert fort la mienneVaut tous les trésors auxquels on s’enchaine
Nous n’avons pas grand chose finalementOn oublie l’essentiel souventTant que je peux marcher, respirer ou aimerTant qu’il n’arrive rien à nos enfants
On court après des chosesC’est du ventEnlever le gris du roseC’est du temps
Les maux s’effacent à l’eauOh rien n’a d’importanceTant qu’il n’arrive rien à nos enfants
Lalalala…