Grand-père II
Déjà petits ils étaient tristesPas un cache-cache, pas un tétrisMes fistonsPour leur grand-père qu'est en bout de pisteIls manient mieux qu'un machinisteLe piston
Quand Marc, Alfred, Jean et AndrewJe les emmenais sur la grand-roueDe la ConcordeJ'en implorais le Grand PachaQu'il accorde pour leurs crachatsMiséricorde
Tous les soirs ils montent dans ma chambreEt rajustent à mon vieux membreLe goutte-à-goutteIls me racontent leur ascensionM'embrassent et ce bruit de succionMe dégoûte
Mais j'ai compris leurs manigancesIls s'ront après ma dernière danseBien déçusCar la maison de la Porte d'AuteuilIls peuvent s'assoir comme un fauteuilDessus