L'écorce saigne
La musique pleure. En sommeC'est mon âme qui s'écouleComme un cri dans la fouleLa tristesse d'un seul homme
La brouillard tombe. Au fondC'est la vie qui se brouilleDe la neige qui l'on souilleEt craquelle sans un son
La colline sombre. Au mieuxC'est l'océan qui mangeDe la terre qui dérangeOu c'est la fin de cieux
L'écorce saigne.À forceC'est la sève qui fatigueComme si lâchait la digueNe plus bomber le torse