Prince Arthur
Je parle d’histoires qui commencentlà où certains laisseront leur sanglà où les jeunes deviennent trop grandet les paroles figent le tempselle sortait d’une guerre familialeréduite à ne plus avoir malassise sur la même tard le soirelle vit enfin son prince en noiril n’avait qu’à lancer un regardpour qu’il ne soit trop tardet elle n’attende riencouvert de cuir les yeux levés au cielil s’approcha d’elleet lui tendit la maincette fausse promesse d’être là jusqu’à la finils devinrent l’envie des enviablescomme serge et jane en moins banala faire l’amour en s’engueulanten pleurant de rire et pourtantles mois passèrent, elle s’enfonçaitalors que lui disparaissaitles yeux dans l’eau, les dents serréesl’eau de la vie qu’elle a laissépour lui elle aurait affronté le videqui la rongeait depuisqu’elle laissait ses secretsau cœur d’un homme rongé par tout ses vicesqui l’aurait à jamaiset elle le savait bienque ses promesses auraient un jour une fin