La Route Pour Nulle Part
Les éclairs grimpant aux murs,Les traces des doigts sur le verre,La carte de ceux qui ont vécu ici,Jusqu'à ce que la main dorée soit brisée-
Souvent il y a une voix dans ma tête la nuit,Les mots dans ma tête s'embrasent.Mais une fois que je me réveille, je ne peux les lire:Mes mains sanglantes demeurent une interrogation.
En passant au crible les jacobs de l'histoire,Ou en se cachant dans les ossements de la villeLes engins chantent en mesure avec les pleurs.Ce chant, il cause le désastre,Mais il est enterré dans le rire--
Les mots qui tombent des bouchesPeuvent changer vos mainsEt déchirer la peau,Alors je vais rester à l'écartDes yeux brillantEt privilégier l'ennui.
La chose que j'ai apprit du sang inhabituelC'est de ne jamais toucher le fort de confort de quelqu'un.La voix du changement est souvent entendueMais craint elle-même d'en être arrivée à rendre visite.
En passant au crible les jacobs de l'histoire,Ou en se cachant dans les ossements de la villeLes engins chantent en mesure avec les pleurs.Leur chant, il cause le désastre,Mais nous l'avons enseveli avec le rire.
Et nos yeuxLevés, pointés vers les cieux, cherchant une réponse.Et nos mains,Elles étaient tâchées et noires et grises,occupées à résoudre des problèmes.Et les dos étaient penchés, sous le délugeDe choses que nous ne connaitrons jamaisJusqu'à ce qu'elles nous brisent.Et dans le confort de la terreNous ne nous demanderons pas ce que nous valons,Non, nous dormirons profondément.
Tout au long de la route pour nulle part.
La strada che non conduce in nessun luogo
Il fulmine si arrampica sulle pareti,I disegni tracciati con le dita sul vetro,La mappa di coloro che una volta vivevano qui,Fino a quando la mano dorata è stata spezzata 1
Spesso c'è una voce nei miei sogni di notte,Le parole all'interno del mio cranio prendono vita.Ma quando mi sveglio, non riesco ad interpretarle:Le mie mani insanguinate rimangono un punto interrogativo.
Mettendo in ordine i singhiozzi del tempo,Ci nasconderemo nelle ossa della cittàI motori accompagnano il canto delle grida.Questa canzone, significa disastro,Ma è sepolta sotto la risata--
Le parole che escono dalla loro bocchePossono cambiare fra le tue maniE tagliare la pelle,Quindi io mi terrò a distanzaDagli occhi che brillanoE dalla noia privilegiata.
La cosa che ho imparato dal sangue non comuneè di non toccare mai gli agi di un'altra personaLa voce del cambiamento si fa spesso sentireMa è la paura stessa che è venuta a far visita.
Mettendo in ordine i singhiozzi del tempo,Ci nasconderemo nelle ossa della cittàI motori accompagnano le grida cantando.La loro canzone, significa disastro,Ma noi la annegheremo con una risata.
E i nostri occhiErano sempre puntati verso il cielo, cercando una risposta.E le nostre mani,Erano macchiate di nero e grigio,Occupate a risolvere problemi.E le nostre schiene sopportavano il caricoDi tutte le cose che non sapremo maiFinché non ci spezzerà.E confortati dalla terraNon ci chiederemo quale sia il nostro valore,No, noi dormiremo profondamente.
Lungo tutta la strada che non conduce in nessun luogo.