La place du vide
Il y a trois rêves que je visiteTa peau, tes mots et puis le risqueQu’un jour nos corps en manque d’alcool viennentSe déposer sur le sol
Comme ils sont beaux les rêves d’hierOubliés là dans la poussièreSous un prétexte du temps qui passeOn laisse le vent prendre leur place
C’est pas la faute des océansSi les hommes plongent leur rêve dedansA force de croire à l’invisibleSouvent les miens se trompent de cible
C’est pas la faute des océansSi les hommes plongent leur rêve dedansA force de croire à l’invisibleSouvent les miens se trompent de cible
J’ai peur des ciels sans horizonsQue mes bras deviennent ta prisonJ’ai peur que sur le cri des autresOn écorne un peu trop le notre
L’acide peut prendre l’espace du mielEt le monde change en rêve cruelN’oublie jamais les premières ailesSouviens-toi du goût de sa peau
C’est pas la faute des océansSi les hommes plongent leur rêve dedansA force de croire à l’invisibleSouvent les miens se trompent de cible
J’ai peur des ciels sans horizonsQue mes bras deviennent ta prisonJ’ai peur que sur le cri des autresOn écorne un peu trop le notre
J’ai peur des ciels sans horizonsQue mes bras deviennent ta prisonJ’ai peur que sur le cri des autresOn écorne un peu trop le notre
Il y a trois rêves que je visiteTa peau tes mots et puis le risque