Ariettes oubliées I : je devine à travers un murmure...
Je devine à travers un murmure,Le contour subtil des voix anciennesEt dans les lueurs musiciennes,Amour pâle, une aurore future !
Et mon âme et mon coeur en déliresNe sont plus qu'une espèce d'oeil doubleOù tremblote à travers un jour troubleL'ariette, hélas ! de toutes lyres ?
Ô mourir de cette mort seuletteQue s'en vont - cher amour qui t'épeures -Balançant jeunes et vieilles heures,Ô mourir de cette escarpolette !