Les Météores
Je nous prêtais la force de traverserUn ciel crachant des pluies de météoresJe nous voyais bravant les pires dangersCréant des souvenirs pour en faire un trésor
Mais ça monte, ça lutte, ça me saisitÇa tire, ça brûle, ça jaillitMais ça monte, ça lutte, ça me saisitÇa tire, ça brûle, ça jaillit
Mon soleil ne crève plus les nuagesIl n'efface plus les maux qui me ravagentJalousie, si le doute est un récif,Toi tu exfolies mon cœur de tes griffes
Mais ça monte, ça lutte, ça me saisitÇa tire, ça brûle, ça jaillitMais ça monte, ça lutte, ça me saisitÇa tire, ça brûle, ça jaillit
Ce soleil qui rallumait les restes de mes bougiesSe dit épuisé d'avoir trop brilléJe tanne ma peau vanille maisDans mon ventre, les courants d'air fourmillent
Mais ça monte, ça lutte, ça me saisitÇa tire, ça brûle, ça jaillitMais ça monte, ça lutte, ça me saisitÇa tire, ça brûle, ça jaillit