Toute blanche
Toute blanche,Dans ton habit du dimancheIls t'ont glissée sous les planchesAvec un chagrin immenseIls ont fermé tes yeuxPour l'éternité.
Le cœur blêmeJe me suis penché quand mêmePour te souffler mon haleineMettre du sang dans tes veinesTe réchauffer un peuTu n'as pas bougé.
Ce dimancheJ'y pense encore mais je flancheJe te portais des pervenchesPour parfumer ton silenceLe ciel pour la circonstanceS'est habillé d'éternité