4 000 îles
Emmène-moi, emmène-moiEmmène-moi, emmène-moiRevoir une dernière foisRevoir une dernière fois
Emmène-moi revoir une dernière foisCes endroits qui faisaient taire le vacarmeDe mes idées noires
Les sommets qui jouent les mâchoiresEt ta cage thoracique se resserreQuand tu les regardes de haut en bas
Emmène-moi revoir juste pour un soirLe vert fluo des rizièresQui triomphèrent de ma colèreEt consolèrent mon désespoir
Qui triomphèrent de ma colèreEt consolèrent mon désespoirAh ah ah ah et consolèrent mon désespoir
Emmène-moi revoir une dernière foisCes choses qui faisaient sauterMes pensées périmées
La poussière orange des sentiersLe béton brûlant de MiamiEt puis aussi les gensQui dansent à Tivoli
La jungle urbaine de Port RoyalSniper Alley et ses tramwaysQui domptaient ma part animaleAu mois d’avril et au mois de mai
Qui domptaient ma part animaleAu mois d’avril et au mois de maiAh ah ah ah au mois d'avril, au mois de mai
Il faut vraiment qu’on reparte le plus vite possibleParce que tu sais que làÇa devient carrément insupportable
Il faut qu’on se noie encore une foisDans les nuits fauvesEt les grands soirsQu’on récupère un peu d’espoir
Emmène-moi revivre juste pour un moisDans le labyrinthe des 4 000 îlesPrès de mes amis au grand cœurQui me rendaient 100 fois meilleur
Près de mes amis au grand cœurQui me rendaient meilleurAh ah ah ah qui me rendaient meilleur
Emmène-moi revoir une dernière foisRevoir une dernière fois
Emmène-moi, emmène-moiEmmène-moi, emmène-moiEmmène-moi, emmène-moi