Cet air étrange
Tu as toujours cet air étrangeQuand tu dis que je suis ton angeTon gardienDans cette chienne d'existenceChienne de vie..Que tu me ressens comme un doubleQue je suis ton fauteur de troublesQue tous les autres sont vraiment trop consEt vraiment pourrisQu'au milieu des châteaux de sable,Je reste ton élément stableEt qu'avec moi, tu voudrais bienManquer la vie....Mais si tu flirtes avec les cimesTu entrevois aussi l'abîmeEt que ça te fais très très peur mais aussiTrès envie...Tu me dis avec cet air étrangeQue lorsque nos corps se mélangentC'est une ultime symphonie,Un pas vers l'infiniQue tu me ressens comme un doubleEt que ça jette en toi le troubleEt que nous sommes insolemmentGâtés pourris....Mais si tu flirtes avec les cîmesTu entrevois aussi l'abîmeEt que ça te fais très très peur mais aussiTrès envieQue si tu flirtes avec les anges,Tu ne sais parfois plus sur quel pied danserEt tu t'enfuis....Tu dis qu'artiste est invivableJe pourrais bien aller au diableEt bien souvent ouais,Tu me maudisQue cet amour t'est dépendanceQue ce serait ta délivranceDe me dire adieu, au-revoir et pour toutMerci....Alors tu n'as plus de toutLà-là-là-làPis tu me recherches partoutLà-là-làLà-là-làEt c'est reparti.......Tu as toujours cet air étrangeQuand tu dis que je suis ton angeTon gardienDans cette chienne d'existenceChienne de vieMais si tu flirtes avec les cimesTu entrevois aussi l'abîmeEt que ça te fais très très peur mais aussiTrès envieQue si tu flirtes avec les anges,Tu ne sais parfois plus sur quel pied danserEt tu t'enfuis...