Je t’ai aimé à en oublier le sommeil
Je t’ai aimé à en oublier le sommeil et ô mon angoisse est que tu m’oublies,Elle m’a emprisonnée en dehors du sommeil et m’a abandonnée éveillée,Moi je t’ai aimé, je t’ai aimé, moi je t’ai aimé, je t’ai aimé !
Je languis de toi, je ne peux pas te voir et je ne peux te parler,Je t’ai appelé derrière les rues et derrière les fenêtres,J’essaye d’oublier mais tu voles l’oubli,Et je pense t’avoir trouvé, revenir à ce qui était,Et tu me perds à chaque fois que je t’ai rencontré,Je t’ai aimé, je t’ai aimé, moi je t’ai aimé, je t’ai aimé !
Ô mon angoisse est de continuer à t’aimer durant les jours qui sont prochains,Et j’évite ton oubli, ne regarde pas dans les miroirs,Ma prison c’est toi, tu es ma prison et tu es ma liberté,Et tu es celui que je déteste, et celui que j’aime c’est toi,Pour un autre que toi je n’ai pas veillé et je t’ai caché,Moi je t’ai aimé, je t’ai aimé, moi je t’ai aimé, je t’ai aimé !
Je t’ai aimé à en oublier le sommeil et ô mon angoisse est que tu m’oublies,Elle m’a emprisonnée en dehors du sommeil et m’a abandonnée éveillée,Moi je t’ai aimé, je t’ai aimé, moi je t’ai aimé, je t’ai aimé !