Le Blanc du plafond
Notre amour a fini dans le bleu d’un puits sans fond.Dilué le poison délétère, je me noie dans le blanc du plafond.Le châtiment est sévère de ne savoir te dire non.
Je me noie dans le blanc du plafond, je m’empêche d’y sauter pour le récupérer.Je me noie dans le blanc du plafond, je me perds dans le bocal du poisson.
Mais toi, tu n’as rien demandé,tu n’as rien demandé.Je me noie dans le blanc du plafond, te protège comme je t’aimais.Car toi tu n’as rien demandé,tu n’as rien demandé.
Notre amour a fini par la cuvette rose des toilettes.C’est ironique, c’est toi qui me l’avais offerte.Me brûlent mes plaies ouvertes.C’est ironique, c’est toi qui me l’avais offerte.C’est toi qui me l’avais offerte.
Mais toi, tu n’as rien demandé,tu n’as rien demandé.Je me noie dans le blanc du plafond, te protège comme je t’aimais.Car toi tu n’as rien demandé,tu n’as rien demandé.
Notre amour démenti résiste à la noirceur du puits sans fond.Tu te mens, pas à moi, tu te meurs dans un bastion dont j’ai jeté la clédans la cuvette rose des toilettes.C’est ironique, c’est toi qui me l’avais offerte,c’est toi qui me l’avais offerte.
Mais toi, tu n’as rien demandé,tu n’as rien demandé.Je me noie dans le blanc du plafond, te protège comme je t’aimais.Car toi tu n’as rien demandé,tu n’as rien demandé,tu n’as rien demandé.