Septembre, en attendant
Juste le temps de battre des cils,Un souffle, un éclat bleu,
Un instant, qui dit mieuxL'équilibre est fragile
J'ai tout vuJe n'ai rien retenu
Pendant que ton ombreEn douce te quitteEntends-tu les autres qui se battentA la périphérie
Et même si tes yeuxDissolvent des commètesQui me passe une à uneAu travers de la tête
J'y pense encoreJ'y penseA cette époque on n'écoutait qu'à peineLe clic-cloc des pendulesA l'heure où je te parleSans entraves ... il circule
En septembre, en attendant la suiteDes carnages il se peut, qu'arrive la limite
J'y pense encoreJ'y penseEnsemble, maintenantOn peut prendre la fuiteDisparus, pfffuitAvant qu'ils aient fait ouf
x2J'y pense encoreJ'y pense